Entre ateliers pratiques, partage d’expérience, discussions théoriques sur la réalité du changement climatique et les outils de mesure de l'empreinte écologique des structures, ce séjour a permis de mettre en avant le rôle moteur que peuvent incarner les CCR en termes de transition écologique dans la sphère culturelle.

Terrain propice à l’innovation, les CCR sont en mesure de donner une impulsion positive et d’inciter à l’action collective. Structure fédératrice sur un territoire, les CCR peuvent être le lien entre les acteurs publics, les partenaires privés et les habitant.e.s et devenir ainsi les ambassadeurs du monde culturel de demain.

Cette mobilité avait pour objectif de dépasser les simples constats et de proposer de nouveaux moyens d’agir sur son empreinte carbone. Première étape du changement, le bilan carbone est un outil d’aide à la décision mais pas une fin en soi, c’est le bilan à un instant donné des émissions des structures qui doit permettre de lister et de mesurer les émissions directes et indirectes. Une fois cela fait, des mesures doivent être prises en conséquence et ce sont ces mesures touchant notamment aux transports, aux achats, aux jardins et à la biodiversité, à l'alimentation et à la coopération avec les acteurs locaux qui ont été discutées entre les participant.e.s.

Les dimensions sociales et économiques n’ont pas été négligées avec des réflexions sur la RSE ou encore des modèles économiques reposant sur le marché local.

Nous vous invitons à découvrir le contenu de ces échanges en prenant connaissance du compte-rendu général de cette mobilité.